Bagatelle di poco valor.
- Tu devrais écrire
- (...) ?!
- Avec tout ce que tu as lu...
- (...) !!
- Je t'assure !
- ... Un blog, à la rigueur...
Ça a débuté comme ça.
Moi non plus j'avais jamais rien dit. Ni écrit. Une forme d'indolence, de paresse.
"Quand on se refuse au lyrisme, noircir une page devient une épreuve : à quoi bon écrire pour dire exactement ce qu'on avait à dire". Cioran...
La probable vanité de la prise d'une plume après Proust, Joyce. Et Céline.
On en voyait tant, d'inutiles...
Moi non plus j'avais jamais rien dit. Ni écrit. Une forme d'indolence, de paresse.
"Quand on se refuse au lyrisme, noircir une page devient une épreuve : à quoi bon écrire pour dire exactement ce qu'on avait à dire". Cioran...
La probable vanité de la prise d'une plume après Proust, Joyce. Et Céline.
On en voyait tant, d'inutiles...
Plus sûrement le sentiment - socratien (?) - de n'avoir rien à dire. D'où le parti-pris - socratique (?) - de n'écrire rien.
"On n'écrit pas parce qu'on a quelque chose à dire, mais parce qu'on a envie de dire quelque chose".
Cioran, encore.
Cioran, encore.
Envie donc...
Avec l'espoir d'"écrire une page sans défaut, une phrase seulement, (qui) vous élève au dessus du devenir et de ses corruptions".
Cioran, toujours.
Avec l'espoir d'"écrire une page sans défaut, une phrase seulement, (qui) vous élève au dessus du devenir et de ses corruptions".
Cioran, toujours.
Commentaires
Enregistrer un commentaire