Apostasie féline.
Arthur, qui a des lectures diverses et variées, avec cependant une prédilection pour des histoires de souris, serpents et autres nuisibles, porte à ma connaissance que Mahomet était, contrairement à ce que j'aurais pu croire eu égard à un certain nombre d'évènements survenus au cours des douze ou treize derniers siècles, un être particulièrement délicat.
Arthur donc me rapporte une légende voulant que le prophète aurait délicatement fait couper une manche de sa djellaba pour éviter de troubler le sommeil de sa chatte.
Ce qui constitue, indiscutablement, un indice d'humanité supérieure envers un animal. Même si... bref !
Faut-il voir là une discrète invite à me faire mahométan ?
Ou à lui foutre - encore plus - la paix ?
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