Roger Daltrey , acteur.
The Comedy of Errors est une des premières oeuvres de Shakespeare. Brève, enjouée et agréable, elle est plus adaptation de Plaute qu'oeuvre du grand Will. Et constitue une pause bienvenue entre deux tragédies, bien évidemment d'un tout autre calibre.
Surprise d'y découvrir un très bon Roger Daltrey - le bègue de My Generation, himself ! - dans un double rôle conséquent de valet jumeaux - les frères Dromios -, l'argument étant basé sur la gémellité et les quiproquos qu'elle génère.
J'avais gardé le souvenir d'un Daltrey ridicule sous la caméra du grotesque Ken Russell - qui se souvient de lui ? - moins dans Tommy cependant, où il avait le rôle-titre, accompagné d'une superbe Maman, rien moins qu'Ann Margret (!), que dans le pathétique Lisztomania : les seventies étaient décidément propices à la culture du navet...
Pour le reste, j'ignorais tout de sa carrière d'acteur, qui semble avoir été assez conséquente.
On n'en fera certes pas un acteur shakespearien : rien à voir avec les John Gielgud, Laurence Olivier ou Richard Burton, dont il n'a ni le physique ni l'aura. Mais il ne dépare en rien dans l'excellente distribution réunie par la BBC - tradition maison - dans la superbe collection qu'est BBC Television Shakespeare des oeuvres complètes du Maître.
Le rock mène donc à tout à condition d'en sortir.
Et bien content que Daltrey ne soit pas mort avant d'être âgé...
Surprise d'y découvrir un très bon Roger Daltrey - le bègue de My Generation, himself ! - dans un double rôle conséquent de valet jumeaux - les frères Dromios -, l'argument étant basé sur la gémellité et les quiproquos qu'elle génère.
J'avais gardé le souvenir d'un Daltrey ridicule sous la caméra du grotesque Ken Russell - qui se souvient de lui ? - moins dans Tommy cependant, où il avait le rôle-titre, accompagné d'une superbe Maman, rien moins qu'Ann Margret (!), que dans le pathétique Lisztomania : les seventies étaient décidément propices à la culture du navet...
Pour le reste, j'ignorais tout de sa carrière d'acteur, qui semble avoir été assez conséquente.
On n'en fera certes pas un acteur shakespearien : rien à voir avec les John Gielgud, Laurence Olivier ou Richard Burton, dont il n'a ni le physique ni l'aura. Mais il ne dépare en rien dans l'excellente distribution réunie par la BBC - tradition maison - dans la superbe collection qu'est BBC Television Shakespeare des oeuvres complètes du Maître.
Le rock mène donc à tout à condition d'en sortir.
Et bien content que Daltrey ne soit pas mort avant d'être âgé...
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