Spicilège #19.

Il paraît que Confucius dut atteindre l'âge de soixante-dix ans pour "agir en toute liberté sans pour autant transgresser aucune règle".
Il me reste donc à parcourir encore un bout de chemin pour atteindre une forme d'idéal : être libre, ou dans l'attente d'une libération prochaine, comme les homards dans les cuisines du Titanic.

La flemme est l'avenir de l'homme. Du sage s'entend.

"Si tu n'a pas fait des choses dignes d'être écrites, écris-en du moins qui soient dignes d'être lues." 
Tant de papier épargné si les écrivains scribouilleurs étaient plus attentifs aux - toujours - judicieuses considérations de Giacomo Casanova !

Les blessures à larmes blanches sont probablement les seules qui jamais ne se referment complètement.





Commentaires

  1. Bien vu pour les homards, il fallait y penser.
    Cameron aurait pu apporter avec ce joli conte un second élément poétique à son film, le premier étant ce type qui sautant de la poupe verticalisée se prend de plein fouet la titanesque hélice (un autre joli conte).

    J'en profite pour vous dire merci : j'ai découvert grâce à vous Babylon Berlin, série qui avait étrangement échappé à mes radars. (Déjà que j'avais manqué le Berlin Alexanderplatz de Fassbinder il y a un ou deux ans sur Arte...)

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    1. Avec, pour la bande-son, Bryan Ferry... ce qui ne gâche rien !

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