Redentore partagé.

Chaude après-midi de juillet avec ce qu'il faut pour la rendre agréable et plus : entre les ploufs et les stations abrégées sur le matelas, un refuge à l'ombre pour un voyage vers Venise l'éternelle - ici vers la fin des années soixante-dix ( passons sur un impardonnable anachronisme page 72, qui en d'autres temps aurait valu une fin de lecture précipitée et définitive de l'ouvrage ) - temps d'une adolescence libre de tout soucis et interdits inconcevable de nos jours.
On se fera notamment un délice d' une longue évocation si peu dévote de la fête du Redentore. 

Coïncidence plus qu'heureuse : le troisième samedi de juillet est le jour de cette commémoration.
On aimerait se téléporter à la Giudecca... loin des hordes americano-nippones de San Marco...


Francesco Rapazzini, Un été vénitien. 183 pages. Éd Bartillat 2022.


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