Diamonds are for ever...

Scott Fitzgerald, s'adressant à sa fille Scottie, voulut lui montrer en quoi pouvait résider, selon lui, le charme, le rêve, la beauté, pourquoi pas une forme d'utilité aussi, que pouvait revêtir la littérature : "tu comprendras comment il est possible d'amener même un Lapon esseulé à sentir l'importance d'une visite chez Cartier", lui dit-il dans une de ses lettres.

Dear Scott, qui ne pouvait imaginer alors à quel point une simple chanson peut suppléer au rêve de n’importe quel esseulé sous n'importe quelle latitude…

Par la bouche de Marilyn, certes...



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