De quoi vous exposer aux foudres des supremacistes de l'oestrogene auxquelles ce (sex) symbol de la masculinité des années 60 ne résista pas.. Feriez vous partie de cette espèce en voie de disparition ? (commentaire répété car je ne suis pas sûre que le premier ait été enregistré, à supprimer, ne vous en déplaise, dans le cas contraire.)
Cette espèce est en effet, hélas, en voie de disparition, du moins dans cet Occident greco-judéo-chrétien en pleine décadence... Moi-même, je m'étiole...
Nous ne pouvions pas résister à toutes, et tout le temps... Un peu de compassion ne messied point aux sex-symbols de la masculinité ! Ce que appelez "harpies supremacistes de l'oestrogene", je le nomme pour ma part "casse-burnes". Doit-on préciser pour le lecteur ou la lectrice qui s'égarerait dans nos papotages que cette réponse relève du deuxième degré ? On doit.
RépondreSupprimerun (sex) symbole de la masculinité qui ne résista pas aux foudres des harpies supremacistes de l'oestrogene. 🤔
RépondreSupprimerDe quoi vous exposer aux foudres des supremacistes de l'oestrogene auxquelles ce (sex) symbol de la masculinité des années 60 ne résista pas.. Feriez vous partie de cette espèce en voie de disparition ?
(commentaire répété car je ne suis pas sûre que le premier ait été enregistré, à supprimer, ne vous en déplaise, dans le cas contraire.)
Cette espèce est en effet, hélas, en voie de disparition, du moins dans cet Occident greco-judéo-chrétien en pleine décadence... Moi-même, je m'étiole...
SupprimerNous ne pouvions pas résister à toutes, et tout le temps... Un peu de compassion ne messied point aux sex-symbols de la masculinité !
RépondreSupprimerCe que appelez "harpies supremacistes de l'oestrogene", je le nomme pour ma part "casse-burnes".
Doit-on préciser pour le lecteur ou la lectrice qui s'égarerait dans nos papotages que cette réponse relève du deuxième degré ? On doit.