Cioran, toujours Cioran.

Voilà que mon facteur - qui, décidément mérite bien ses étrennes... - me dépose dès potron-minet ceci, qui fera mon régal du prochain week-end.



Soit, après le succulent "On ne peut vivre qu'à Paris", du même Patrice Reytier et toujours chez Rivages, la suite des échappées déambulatoires - et toujours en ligne claire - de "l'aristocrate des Vandales" pour le dire comme le toujours cher Jaccard - M. Cioran himself !

Pour, comme le disait Samuel Beckett, "se sentir à l'abri dans ses ruines"...


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