Rien de plus que l'éternel combat du laid contre le beau, de l'abruti contre l'élégant, du primaire contre le racé. Envie, jalousie, complexe d'infériorité, l'apparatchik se reconnait à ça aussi. En face, plus haut, le danseur. Noël le Graët, Zinedine Zidane.
Même en remontant jusqu'au dix-septième siècle, je n'ai (et ça ne me fait pas spécialement plaisir, j'aurais rêvé à plus d'exotisme, mais c'est comme ça) pour canal (caniveau diront certains ^^) intime que du sang breton Et il y a quelques temps d'aucuns en avaient conclu que j'étais également "fin de race". Lire en filigrane "laid et bête". Ce n'est pas un terme très plaisant mais il est assez juste. Voyez donc l'effort que je dois fournir ici pour réussir à passer ce cap de la bête laideur et dire deux trois choses pas trop moches et connes à l'occasion ^^ Il m'arrive même d'affirmer (pour jouer le jeu de cette légende d’arriération) qu'en Bretagne le cosmopolitisme commence quand un type ne se marie pas avec sa cousine ou sa sœur ^^ Pour en revenir à Le Graët (je ne l’aime pas mais ses punchlines me font rire ; "punch" à prendre évidemment ici dans son acception alcoolique) je crois que le problème est ailleurs. Ce mec est loin d’être stupide justement et je ne crois pas non plus qu’il ait une dent contre Zidane (dont personnellement je me contrefous et que je trouve, comme toute "légende" sportive, parfaitement faux-cul et opportuniste ; le sport aurait dû demeurer au stade du loisir, sa professionnalisation est une des grandes plaies de ce monde, particulièrement le foot pro, dont les manières sur un terrain, dans le vestiaire ou plus au-dehors sont les pires reflets ou inspirations de la société ; mais ça ne m’empêche pas d’apprécier parfois un bon match). Non, Le Graët est simplement un sybarite en bout de course (quatre-vingt piges, trois cancers "vaincus" je crois), qui l’accepte mal et qui se rend compte que le seul moyen qu’il ait encore à sa disposition pour "persister nerveusement" dans cette vie qui fout le camp est la joute polémique. Ce feu qu’il allume régulièrement est la flamme qui le maintient.
Qu'il soit breton, turkmène, ouzbèque, corse même - pourquoi pas ? - n'a rien à voir avec mon propos. "Fin de race" ne veut qu'indiquer la veulerie, la médiocrité, l'inculture, l'absence d'éducation, bref la nullité envieuse et revancharde face à la classe, l'élégance, l'intelligence et le sourire de Zidane. Á propos de breton, il me semble que M. Harry Sussex, dit le prince, relève également de l'idée de "fin de race". Il est vrai qu'il n'est que grand-breton... Ravages de l'alcool ?
Je ne parlais évidemment pas de football - le football contemporain et ses acteurs m’indiffèrent au moins autant que le ballon m'a passionné en d'autres temps - mais d'esthétique...
Même en remontant jusqu'au dix-septième siècle, je n'ai (et ça ne me fait pas spécialement plaisir, j'aurais rêvé à plus d'exotisme, mais c'est comme ça) pour canal (caniveau diront certains ^^) intime que du sang breton Et il y a quelques temps d'aucuns en avaient conclu que j'étais également "fin de race". Lire en filigrane "laid et bête". Ce n'est pas un terme très plaisant mais il est assez juste. Voyez donc l'effort que je dois fournir ici pour réussir à passer ce cap de la bête laideur et dire deux trois choses pas trop moches et connes à l'occasion ^^ Il m'arrive même d'affirmer (pour jouer le jeu de cette légende d’arriération) qu'en Bretagne le cosmopolitisme commence quand un type ne se marie pas avec sa cousine ou sa sœur ^^
RépondreSupprimerPour en revenir à Le Graët (je ne l’aime pas mais ses punchlines me font rire ; "punch" à prendre évidemment ici dans son acception alcoolique) je crois que le problème est ailleurs. Ce mec est loin d’être stupide justement et je ne crois pas non plus qu’il ait une dent contre Zidane (dont personnellement je me contrefous et que je trouve, comme toute "légende" sportive, parfaitement faux-cul et opportuniste ; le sport aurait dû demeurer au stade du loisir, sa professionnalisation est une des grandes plaies de ce monde, particulièrement le foot pro, dont les manières sur un terrain, dans le vestiaire ou plus au-dehors sont les pires reflets ou inspirations de la société ; mais ça ne m’empêche pas d’apprécier parfois un bon match).
Non, Le Graët est simplement un sybarite en bout de course (quatre-vingt piges, trois cancers "vaincus" je crois), qui l’accepte mal et qui se rend compte que le seul moyen qu’il ait encore à sa disposition pour "persister nerveusement" dans cette vie qui fout le camp est la joute polémique. Ce feu qu’il allume régulièrement est la flamme qui le maintient.
Qu'il soit breton, turkmène, ouzbèque, corse même - pourquoi pas ? - n'a rien à voir avec mon propos. "Fin de race" ne veut qu'indiquer la veulerie, la médiocrité, l'inculture, l'absence d'éducation, bref la nullité envieuse et revancharde face à la classe, l'élégance, l'intelligence et le sourire de Zidane.
RépondreSupprimerÁ propos de breton, il me semble que M. Harry Sussex, dit le prince, relève également de l'idée de "fin de race". Il est vrai qu'il n'est que grand-breton...
Ravages de l'alcool ?
Ou ravages du ressentiment sublimé en succès éditorial (sublimation paradoxale : de la m... sublimée en m...)
SupprimerJe ne parlais évidemment pas de football - le football contemporain et ses acteurs m’indiffèrent au moins autant que le ballon m'a passionné en d'autres temps - mais d'esthétique...
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