Dolce Vita & Sprezzatura.

Nouvelle année, année nouvelle conviendrait-il d'espérer s'il y avait encore la place.
Au temps, l'entamer avec un de ces éclats de paradis dont parlait Fitzgerald, images enfuies d'une Dolce Vita fantasmée, élégance enfouie sous le débraillé de l'époque, la nôtre (?).
Mastroianni, Nico, Anouk Aimée, esthétique intemporelle.
Baldassarre Castiglione nous avait fait don du mot, sprezzatura. Dandysme et nonchalance, cynisme ou désespoir. Plus encore et autre chez Fellini.
De ces éclats de paradis, un m'est échu, que Pärt a mis en musique, il y a quelques jours, ici, déjà.

https://youtu.be/mwKfTkEvMEg

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