Aristote, auteur noir.


Transposé à Los Angeles dans les années quarante ou cinquante, quand la ville, bien que n'étant toujours pas ville au sens européen du mot, avait encore une âme - fantasmée ou pas n'est pas le problème -, voilà qui ferait une base solide pour un bon roman noir.
Faudrait sans doute contacter l'agent de cet Aristote pour les droits ...

Clin d'oeil au soundtrack de Farewell my lovely... Marlowe version Mitchum... 
Toute une époque.



Commentaires