Anecdotique.

"Le pire travers de l’acteur moderne consiste à montrer qu’il possède bien l’intelligence du texte. Et il faut avoir entendu Gérard Philipe réciter des poèmes pour imaginer le plaisir que l’on pourrait éprouver à étrangler un comédien."

La voix de François Truffaut me comble d'aise à peu près autant que celle du "Prince en Avignon". 

Mais sa méchanceté jouissive, variante cheap de la "méchanceté du rachitique", me comble, réponse à la mièvrerie si présente sous la fièvre hallucinée de l'icône du TNP.

Tous deux se rejoignent - rien d'étonnant - dans le panthéon du culturellement correct du cinéma et du théâtre français.

Y voir l'antipathique rosser le benêt ne me contrarie pas outre mesure.

Ceci n'a absolument rien à voir, mais bon Raquel Welch, quand même...