Splendor and glory of the sound of silence.

 



Longtemps, j'ai cherché à mettre la main sur la partition du fameux 4'33 de John Cage.
Enfin trouvée ! 
On peut ainsi mieux suivre son exécution. 
Ici, pour formation orchestrale - je préfère pour ma part la version pour piano, plus proche de l'intention initiale de
Cage, qui commenta ainsi son œuvre : "Elle s'ouvrira avec une idée simple que j'essayerai de rendre aussi séduisante que la couleur, la forme et le parfum d'une fleur. La fin s'approchera de l'imperceptibilité."
Imperceptibilité est bien le mot...


Commentaires

  1. Pour quelle raison tuez-vous la parole des femmes qui ne plient pas à la dictature virtuelle de votre clan? Pour quelle raison pensez-vous que la toile virtuelle appartient au Schiffter club et à tous ces nihilistes qui tuent l'altérité du monde chaque jour pour ne laisser survivre que quelques zombies faisant croire à leurs suiveurs que tout est bien ainsi?
    Et si on ne veut pas se taire, continuerons-nous de vivre dans la terreur intellectuelle et sous la menace à peine voilée?
    Quand les intimidations cesseront-elles?
    Le ricanement a -t-il une fin?
    Devons-nous nous-même ricaner pour chasser tous ces tyrans que vous servez?
    Et si on n'a pas envie d'être aussi mesquin et lâche que vous, et si pourtant nous continuons à vivre en dehors de vos jeux de rôles plaqués sur les "femelles" par des proxénètes à peine masqués, des décomplexés de toutes ces idéologies de nazes que vous cautionnez?
    Monsieur, si vous et vos amis ne souhaitez plus m'entendre, ni me lire: ne venez plus me lire.
    Commencez par votre propre silence, cela changera un peu du vacarme des élites que vous servez.

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    1. Dear, ne pouvant garder mon silence et désirant donner plus ample écho à votre libelle, je me propose de lui consacrer l'intégralité de mon billet suivant ! Quand on aime, on ne lésine pas...

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    2. Je découvre à l'instant, lecteur distrait, vos samplers en fleurs. Que ne l'ai- je fait plus tôt ! J'aurais mieux compris le caractère loufoque du propos...

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  2. La seule pièce que je maîtrise parfaitement à la guitare...
    Belle partition oui, et qui n'est pas sans rappeler celle de la symphonie monoton de Klein.
    Ses grilles de mise en place des pianos préparés sont assez magiques aussi. Le piano façon Cage n'aura jamais été autant « à lui tout seul (ce) petit orchestre » tel que le voyait Schopenhauer.

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    1. Ami, la référence finale à l'Oncle Arthur valide la pertinence de votre propos...

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