Lucchini, Sollers, Wilson Pickett et autres...

Sollers publie encore. Un livre sur Hegel ou hégélien, tout cela n'est pas encore très clair.
Bref, un livre que tout schopenhauerien conséquent se devra d'ignorer. Mieux, de ricaner à son propos, sans l'avoir lu évidemment.

Lucchini, partout.
Sur les écrans dans un son numéro habituel. D'autant plus à l'aise que face à un terne et massif Onfray, il n'en fallait pas beaucoup pour paraître ne serait-ce que vivant. Dans son bestiaire d'écrivains, apparition de plus en plus mentionnée de Cioran, celui qu'Onfray qualifiait naguère de crétin.
Aucune réaction de Lucchini. Il ne doit pas lire Onfray...
Sur France Culture chez le monsieur au nom rigolo, Ono-dit-Biot. Croisement curieux entre la japonaise castratrice et une cité coquette des Alpes-Maritimes.
Il déroule sans problème, opère deux choix musicaux dont on devine qu'ils lui sont vraiment chers, Bach, écouté deux heures par jour, et Wilson Pickett sur lequel il délire sans entraves. Puis, concession au culturellement correct sans doute - on est sur France Culture et il ne s'agirait pas de passer VRAIMENT pour un réac de droite - Oum Kalsoum, "astre de l'Orient". Sur laquelle il n'a aucune lumière particulière. Show.

Onfray, bref retour. Cet acharnement à porter une chemise noire, pendant médiatique de BHL aux chemises blanches immaculées.

Putes et travelos, herbes et poudre, et pas seulement aux yeux, dopages divers et variés, paris truqués, achats de matchs, onéreuses compétitions grassement acquises, mallettes de liquides et autres joyeusetés, comme le dirait un platonicien égaré, le sport est vraiment l'école de la vie.
Pas même le reflet de la réalité, le réel. XXI ème siècle.










Commentaires