Arthur.
Entre autres bonheurs nés de la lecture de son journal, dont un condensé des tomes parus en Espagne été publié en France à l'automne dernier sous le titre "Bâiller devant Dieu", cette mention du nom de Borges donné par Iñaki Uriarte à son chat, hommage à qui vous devinez !
Ayant dénommé le mien Arthur en référence à Schopenhauer, je me félicite de les voir tous deux échapper aux habituelles dénominations qui, à elles seules, m'auraient dissuadé de partager mon existence avec un chat : je n'aurais même pas su comment m'adresser à lui...
Ayant dénommé le mien Arthur en référence à Schopenhauer, je me félicite de les voir tous deux échapper aux habituelles dénominations qui, à elles seules, m'auraient dissuadé de partager mon existence avec un chat : je n'aurais même pas su comment m'adresser à lui...
Leur nom a très probablement eu une influence sur le caractère et le comportement de nos maîtres félins, et j'ai comme l'impression que Borges et Arthur nous en ont su gré.
Ainsi Arthur, le philosophe, dont Uriarte rapporte le portrait qu'en avait dressé un habitué de la taverne dans laquelle il déjeunait tous les jours, voyant en lui "un homme à la fois renfrogné et bon, ronchon et très souvent drôle, un être dans le fond inoffensif".
Renfrogné est excessif, mais inoffensif pour sûr... sauf pour les oiseaux : tel est Arthur. Le chat.
Ainsi Arthur, le philosophe, dont Uriarte rapporte le portrait qu'en avait dressé un habitué de la taverne dans laquelle il déjeunait tous les jours, voyant en lui "un homme à la fois renfrogné et bon, ronchon et très souvent drôle, un être dans le fond inoffensif".
Renfrogné est excessif, mais inoffensif pour sûr... sauf pour les oiseaux : tel est Arthur. Le chat.
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