Cioran / Fitzgerald. Suite.

"Nous nous penchons sur ce qu'un écrivain a tu, sur ce qu'il aurait pu dire, sur ses profondeurs muettes. S'il laisse une oeuvre, s'il s'explique, il s'est assuré notre oubli.
Magie de l'artiste irréalisé..., d'un vaincu qui laisse perdre ses déceptions, qui ne sait pas les faire fructifier".

Dans le premier de ses "Syllogismes de l'amertume", Cioran - comme déjà noté ici dans le billet du 11 Juin dernier - nous fait entrevoir le coeur de ce que fut Fitzgerald.
Sa magie sans fin, bouclier contre l'oubli.




Scott, quelque part entre moue dubitative et surprise d'avoir été - un peu - dévoilé.





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