Oiseaux.
"At the bottom of every frozen heart there is a drop or two of love - just enough to feed the birds."
Henry Miller, Tropic of Cancer. (1934).
Chaque cœur glacé recèle en son fond une ou deux gouttes d'amour - juste ce qu'il faut pour nourrir les oiseaux.
© traduction maison
Si seulement... la seule chose qui puisse rassurer, c'est qu'à la fin des fins, avec ou sans pauvres gouttes, ce sont les oiseaux qui gagneront.
Sans doute... peut-être...
Voilà qui ne résoudrait rien.
Mais pourquoi faudrait-il une solution ?
Bukowski l'avait compris, à sa suite Ornella Muti, en ces temps anciens déjà... 1981...
Antumbra, Luzia von Wyl Ensemble, Throwing Coins (2018).
"Pay your respects to the vultures / For they are your future" (John Balance)
RépondreSupprimerUn superbe Ferreri mais désavoué par son inspirateur. L'univers bukowskien y est, il est vrai, un tantinet dénaturé. (Jamais su de quel recueil était tiré cet excellent poème de la scène finale.)
J'en ai gardé également un excellent souvenir, au delà de celui - en son temps ému... - de la jeune dame. On peut imaginer les grognements et borborygmes habituels de Hank : pas important en l'occurence. Mais je n'ai pas en mémoire la scène finale et son poème - une relecture du DVD n'est donc pas superflue !
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