Lenore. Never more.
En fait, tomber sur ceci,
dont j'ignore tout de l'auteur et de la provenance, le bref éclat de rire passé, le sourire demeurant, m'a immédiatement amené au fameux Raven d'Edgar Allan Poe, et paru convenir parfaitement à l'état d'esprit du moment précis.
Le "never more" de l'original s'est dégradé en un "fuck you" certes plus banal et vulgaire, mais pas forcément étranger à l'esprit du propos incessant du fameux corbeau.
Gainsbourg aurait apprécié sans doute...
Chef d'oeuvre évidemment, - et la traduction de Baudelaire n'y est pas étrangère -, une vingtaine de pages qu'on trouve partout en deux clics sur la toile.
Pur bonheur également que la version qu'en donne Lou Reed en 2003.
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