Haïkus pour Peter Beard.
Le monde est devenu
un cerisier en fleurs
À la surface de l’eau
des sillons de soie –
pluie de printemps.
Ryôkan Taigu (1758-1831)
Ô Pruniers en fleur, (Gallimard / Folio /Sagesses).
Sans savoir pourquoi
j’aime ce monde
où nous venons pour mourir.
où nous venons pour mourir.
Natsume Sõseki (1867-1916).
Haïku : Anthologie du poème court japonais (Poésie / Gallimard, 2002).
Hommage anthume à Peter Beard, que l'on ne retrouvera probablement plus...
Veruschka.
Commentaires
Enregistrer un commentaire