Ça gaze.
"Le XXe siècle a débuté, dans une révélation spectaculaire, le 22 avril 1915, avec la première utilisation à grande échelle du gaz chloré, comme moyen de combat, employé par un régiment du gaz spécialement constitué au sein des armées allemandes."
Peter Sloterdijk.
On peut difficilement nier que ce siècle-là a tenu toutes ses promesses initiales, jusqu'au passage de témoin avec l'actuel, un certain onze septembre 2001 à New-York.
Qui semble, à son tour, débuter sur les chapeaux de roue, et"visiblement s'enflamme de plus en plus" comme le dirait le Nietzsche d' "Humain, trop humain".
Il conviendrait par ailleurs de saluer la ténacité de ce grand peuple allemand - pas nazi..., il n'y a jamais eu de peuple nazi, allemand donc - et de plusieurs de ses chefs successifs dans la recherche d'un rendement maximum de l'utilisation de gaz divers et variés.
Y voyaient-ils une issue à la profonde névrose post-romantique de l'Allemagne, cette "vieille mijaurée puritaine" selon le mot de Nietzsche ?
Pourrions-nous y voir une des sources de la furieuse passion écologiste de la jeunesse allemande contemporaine ?
Recherche d'un autre type d'une pureté, sinon perdue, du moins encore et toujours fantasmée ?
Certaines des réactions vertes-radicales à l'irruption soudaine et brutale d'un virus qui pourrait "soulager" la Terre du caractère décidément "nuisible" du "prédateur" qu'est l'homme - nouvelle "divine surprise" ? -, paraissent mériter réflexion...
Peter Sloterdijk.
On peut difficilement nier que ce siècle-là a tenu toutes ses promesses initiales, jusqu'au passage de témoin avec l'actuel, un certain onze septembre 2001 à New-York.
Qui semble, à son tour, débuter sur les chapeaux de roue, et"visiblement s'enflamme de plus en plus" comme le dirait le Nietzsche d' "Humain, trop humain".
Il conviendrait par ailleurs de saluer la ténacité de ce grand peuple allemand - pas nazi..., il n'y a jamais eu de peuple nazi, allemand donc - et de plusieurs de ses chefs successifs dans la recherche d'un rendement maximum de l'utilisation de gaz divers et variés.
Y voyaient-ils une issue à la profonde névrose post-romantique de l'Allemagne, cette "vieille mijaurée puritaine" selon le mot de Nietzsche ?
Pourrions-nous y voir une des sources de la furieuse passion écologiste de la jeunesse allemande contemporaine ?
Recherche d'un autre type d'une pureté, sinon perdue, du moins encore et toujours fantasmée ?
Certaines des réactions vertes-radicales à l'irruption soudaine et brutale d'un virus qui pourrait "soulager" la Terre du caractère décidément "nuisible" du "prédateur" qu'est l'homme - nouvelle "divine surprise" ? -, paraissent mériter réflexion...
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