La Recherche, prise trois. Ou quatre...
"Il s'agit d'un narrateur qui n'arrête pas de s'inquiéter de ce qu'une femme qu'il aime ( peu importe que c'en soit une vraiment dans la réalité ) pourrait faire avec une autre femme. Voilà le moteur de la Recherche du temps perdu."
Philippe Sollers, Le roman comme conversation / Éloge de l'infini, Gallimard.
Je n'avais pas tout à fait vu ça comme ça, moi. Va falloir tout reprendre depuis le début ? !
Pas encore ce soir que je me coucherai de bonne heure...
Pas encore ce soir que je me coucherai de bonne heure...
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